Et si vous pouviez ne plus voir vos corps flottants ?
Et si la solution ne se trouvait pas dans vos yeux… mais dans votre cerveau ?

Une gêne invisible pour les autres. Mais obsédante pour vous.
Des filaments flous qui dérivent dans votre champ visuel. Des taches mobiles qui flottent dès que vous regardez un écran ou un ciel dégagé. Des formes grisâtres qui bougent quand vous ne bougez pas.
Si ces phrases vous parlent, vous n’êtes pas seul(e).
Ce phénomène porte un nom : les corps flottants, ou myodésopsies. Il s’agit d’opacités microscopiques dans le vitré — la substance gélatineuse qui remplit l’intérieur de l’œil — projetant des ombres sur la rétine. Invisibles pour votre entourage, elles deviennent pour vous une présence constante, intrusive, parfois angoissante.
Selon une étude publiée dans Eye (2020), près de 78 % des patients affectés rapportent une altération significative de leur qualité de vie. Certains évoquent une détresse comparable à celle des acouphènes. D’autres parlent d’un isolement, d’une perte de plaisir à lire, conduire, travailler, vivre.
Et pourtant, face à cette gêne, la médecine reste souvent silencieuse.
Les solutions actuelles ? Très limitées.
Aujourd’hui, les options sont peu nombreuses. La vitrectomie (chirurgie invasive) est rarement proposée, sauf en dernier recours. Le laser YAG ? Son efficacité est controversée, et peu d’ophtalmologistes sont formés à cette technique.
Résultat : des milliers de patients quittent les cabinets avec la même phrase en tête :
“Il faut apprendre à vivre avec.”
Mais vivre avec… sans aide ? Sans outil ? Sans espoir de mieux ?
Et si « apprendre à vivre avec » devenait un vrai programme d’entraînement ?
Des chercheurs en neurosciences cognitives commencent à explorer une autre voie. Une voie ni chirurgicale, ni médicamenteuse, mais cérébrale.
L’idée : utiliser les capacités d’adaptation du cerveau — ce qu’on appelle la neuroplasticité — pour réduire activement la perception des corps flottants.
Car le cerveau n’est pas un spectateur passif de ce que voient les yeux. Il trie, filtre, interprète.
Il remplit même les trous laissés par la tache aveugle ou des lésions légères de la rétine.
Il apprend à ignorer les stimuli répétitifs, à désensibiliser certaines perceptions, à reprogrammer son attention visuelle.
Ce que vous percevez n’est pas toujours ce qui entre dans l’œil. C’est ce que le cerveau choisit de vous montrer.
Une approche novatrice : entraîner le cerveau à filtrer les flottants
Et si vous pouviez entraîner votre cerveau à reconnaître les corps flottants comme des « bruits visuels » inutiles… et à les ignorer progressivement, comme il le fait déjà avec d’autres éléments ?
Des exercices visuels spécifiques, conçus selon les principes du remplissage perceptif, de l’habituation active et de la focalisation attentionnelle, pourraient permettre à votre système nerveux de :
- Réduire l’attention portée aux flottants
- Stimuler des circuits d’adaptation visuelle
- Créer un effet de filtrage cognitif
- Diminuer la charge mentale liée à leur présence
Cela ne relève pas de la magie, mais de mécanismes connus du cerveau. Des stratégies déjà utilisées en neurosciences, en rééducation visuelle, en gestion des douleurs chroniques ou en réalité virtuelle thérapeutique.

Une étude pilote est en cours. Vous pouvez en faire partie.
Une équipe pluridisciplinaire lance une étude pilote sur cette approche. L’objectif ?
Tester un programme d’entraînement neuro-visuel, accessible depuis chez soi, via une interface dédiée.
- Basé sur la plasticité cérébrale et les phénomènes perceptifs
- Réalisable chez soi, sur écran
- Structuré en phases progressives
L’étude s’adresse à des personnes gênées par leurs corps flottants et prêtes à tester cette approche non conventionnelle. Elle ne requiert ni médicament, ni opération, ni déplacement.
Pourquoi participer maintenant ?
Participer à l’étude, c’est :
- Accéder en avant-première à un programme potentiellement transformateur
- Contribuer à faire avancer la recherche sur un sujet encore trop ignoré
- Reprendre du pouvoir sur une gêne que l’on vous a peut-être dit d’accepter
Nous cherchons des bêta-testeurs volontaires.
Votre participation est précieuse : elle permettra d’ajuster les protocoles, mesurer les effets, valider les résultats.
Rejoignez le programme de test
Si cette approche vous parle, si vous cherchez une alternative aux phrases toutes faites et à l’attente passive, c’est peut-être le moment.
Places limitées. L’étude démarre très bientôt.








